Ma première chirurgie implantaire : maîtrise des facteurs humains et organisationnels

Auteur : Antonin Hennequin, Guillaume Heller

Cet article explore les différents challenges que représente la réalisation de la première chirurgie implantaire. Il traite des enjeux d’organisation que cela représente en identifiant les menaces et en proposant des outils pour sécuriser cette nouvelle pratique. La mise en place d’une nouvelle pratique chirurgicale nécessite évidemment des connaissances techniques, mais c’est aussi l’occasion de développer et d’appliquer de nouvelles compétences, appelées compétences non techniques ou encore facteurs humains. Ce nouvel apprentissage sera le fil rouge de cet article.

À travers un rétroplanning détaillé, chaque étape clé de préparation et de réalisation du premier implant est analysée. L’article fournit des conseils et des outils pratiques aux praticiens débutants pour mieux aborder leur première chirurgie implantaire, mais aussi aux praticiens déjà rompus à l’exercice de sécuriser leur pratique.

La chirurgie implantaire est aujourd’hui une procédure courante en odontologie, offrant une solution de réhabilitation fonctionnelle et esthétique aux patients édentés [1].

La première chirurgie implantaire représente une étape clé dans la pratique des chirurgiens-dentistes qui s’y destinent.

Le succès de l’intervention repose non seulement sur la maîtrise des techniques chirurgicales, mais également sur une gestion efficace des facteurs humains, ces nouvelles compétences seront développées dans une première partie. La seconde partie de cet article expose un rétroplanning détaillé de la première chirurgie implantaire en tenant compte de ces facteurs humains déterminants.

Les facteurs humains en implantologie

Les facteurs humains en chirurgie implantaire

Les facteurs humains regroupent les éléments psychologiques, comportementaux, organisationnels et environnementaux qui influencent la performance chirurgicale, notamment en implantologie, où ils impactent précision, sécurité et succès à long terme [2].

Compétence, performance et erreur

– Compétence : résultat d’un apprentissage initial et continu combinant théorie, pratique et expérience.

 Performance : capacité à appliquer sa compétence durant la chirurgie. Elle peut être affectée par le stress, la fatigue ou l’environnement (interruptions, bruit). Identifier et gérer ces facteurs est essentiel pour éviter les erreurs.

 L’erreur : divergence entre le résultat obtenu et le résultat prévu d’une action [3].

Compétences non techniques [4]

Ces compétences (Tableau 1) concernent :

  • Les individus : gestion cognitive individuelle.
  • Les interactions : communication et coordination interpersonnelles.

En implantologie, où les informations et paramètres à gérer sont nombreux, l’étude des facteurs humains met en avant ces compétences et propose des outils pour éviter les oublis et instaurer des barrières de sécurité.

 

Première chirurgie implantaire : maîtrise des facteurs humains et organisationnels

J-270 : Formation initiale

Facteurs humains

La formation initiale en implantologie est obligatoire. Elle doit développer les gestes, automatismes et procédures techniques. Ce socle indispensable n’est pas suffisant et il faut y adjoindre des compétences non techniques (Tableau 1). Un avenant au contrat en responsabilité professionnelle doit couvrir l’activité implantaire [5].

Tableau 1. Compétences non techniques dans la pratique chirurgicale adaptée de la publication de Yule et coll.

Conseils

  • Privilégier une formation théorique et pratique.
  • Intégrer l’équipe (assistante dentaire) dans des ateliers pratiques.
  • Participer à des simulations et à des échanges avec des praticiens expérimentés (compagnonnage, study-clubs).
  • Les enjeux principaux sont de savoir sélectionner ses premiers cas et de pouvoir les gérer de façon sécurisée.

J-90 : Préparation et choix du matériel

Facteurs organisationnels

La connaissance et la préparation minutieuse du matériel chirurgical sont indispensables pour garantir le bon déroulement de l’intervention.

Conseils

  • Identifier des partenaires fiables pour le matériel, le consommable et un système implantaire éprouvé.
  • Opter pour des systèmes garantissant une traçabilité et la possibilité d’une réintervention dans de bonnes conditions, même si le patient change de praticien [5]. Ne pas oublier que les patients peuvent aussi changer de région géographique et qu’ils doivent continuer de bénéficier d’un suivi médical dans de bonnes conditions.
  • Vérifier la disponibilité et l’état des kits chirurgicaux, fraises, moteurs et implants. Intégrer la stérilisation et l’asepsie dans les préparatifs, notamment par le recours à des cassettes chirurgicales et/ou des containers [6].

J-60 à J-30 : Sélection du patient, critères de sélection clinique

Facteurs humains

La sélection du patient est essentielle pour la première chirurgie implantaire. Il ne faut pas hésiter à échanger avec des confrères plus expérimentés pour discuter de la prise en charge ou conforter les choix thérapeutiques. Si besoin, il est tout à fait possible de reprogrammer un RDV avec le patient pour finaliser la remise des documents.

Conseils

  • Utilisez des outils cognitifs comme des check-lists (fig. 1).
  • Utilisez des grilles d’analyse (ex. : grille SAC, ITI).
  • Pour les débutants : choisir un cas facile et favorable ; demander l’avis d’un praticien plus expérimenté.
 

J-60 à J-30 : Sélection du patient, communication avec le patient

Facteurs humains

La communication est essentielle pour le succès de l’intervention. Lors des consultations pré-opératoires, expliquer étapes, risques, soins et restrictions post-opératoires. À l’issue de la consultation, il est normal que les patients ne retiennent pas toutes les informations car elles sont nombreuses et peuvent être techniques. Fournir un consentement éclairé et une fiche de recommandations écrite favorise la compliance du patient. Une communication claire et loyale établit la confiance, réduit l’anxiété et renforce la coopération [8].

Conseils

Remettez les documents obligatoires :

  • Devis.
  • Consentement éclairé.
  • Ordonnance.
  • Recommandations post-opératoires orales et écrites.
  • Utilisation d’outils comme des check-lists administratives (fig. 2).

J-60 à J-30 : Sélection du patient, planification prothético-chirurgicale

Facteurs humains

La planification numérique réduit l’incertitude et facilite la préparation mentale du chirurgien. Cette étape permet de visualiser l’anatomie, de définir la position optimale de l’implant et de préparer le matériel nécessaire [9].

Conseils

  • Le projet prothétique est INDISPENSABLE. En cas d’expertise, l’absence de projet prothétique est fautive.
  • Planifier avec un logiciel 3D basé sur un CBCT et si cela est nécessaire, sur une empreinte optique superposée.
  • Pour les débutants : valider le projet prothétique et chirurgical avec un praticien plus expérimenté.

J-60 à J-30 : Sélection du patient, préparation mentale

Facteurs humains

L’anticipation mentale réduit le stress et renforce la réactivité face aux imprévus.

Conseils

  • Visualiser mentalement chaque étape de la chirurgie, de l’incision à la suture, en anticipant complications et stratégies de gestion.
  • Cet exercice puissant améliore concentration et calme, surtout pour des interventions peu familières, mais pas seulement.

J-14 à J-7 : Contrôle logistique, organisation du matériel et coordination avec l’équipe

Facteurs humains

Une organisation stricte réduit distractions, stress et imprévus. Une équipe préparée minimise les erreurs. Le leadership passe par des check-lists (fig. 3) et des délégations.

Conseils

  • Vérifier l’état de marche et la présence complète du matériel (moteur, etc.) une à deux semaines avant l’intervention pour éviter les aléas techniques lors de la chirurgie, des erreurs ou la gestion de pénurie.
  • Communiquer efficacement avec l’assistant(e) dentaire, réviser les étapes ensemble et clarifier les rôles et les attentes.
  • Faire une mise en situation sans patient avec un kit stérile complet pour préparer l’assistant(e) dentaire à la mise en place du bloc, des instruments, des gestes d’asepsie.
  • Une fois la mise en situation réalisée, préparer, en amont avec l’assistante, le matériel nécessaire, stocké dans un contenant adapté prêt à l’emploi.

Jour J : Briefing

Facteurs humains

Un briefing matinal de 10 minutes fluidifie la journée, identifie les priorités et prépare l’équipe, particulièrement lors d’une première pratique implantaire [10].

Conseils

  • Verbaliser les objectifs : clarifier les étapes, objectifs cliniques et difficultés attendues, assurant une vision partagée.
  • Anticiper les défis : identifier les points critiques (tissus mous, anatomie) pour une approche proactive.
  • Renforcer la communication : permettre à l’équipe d’exprimer questions ou préoccupations, ce qui favorise la confiance, la collaboration et limite le gradient d’autorité.

Jour J : Accueil du patient au secrétariat

Facteurs humains

Le processus de soin inclut des dimensions non cliniques, comme l’accueil au secrétariat. En plus des vérifications administratives, il crée un climat de confiance, influence l’état émotionnel du patient et le déroulement de l’intervention.

Conseils

  • Utiliser une check-list administrative préopératoire (fig. 3).
  • Vérifier les informations médicales essentielles (allergies, traitements, antécédents).
  • Vérifier la signature des consentements éclairés et des devis.
  • Utiliser une communication rassurante dans un environnement calme.

Jour J : Préparation de la salle d’intervention, une salle dédiée est-elle nécessaire ?

Facteurs organisationnels

La préparation de la salle d’intervention réduit les interruptions et les pertes de temps en cas d’oubli de matériel ou d’ajustement non anticipé, diminue le stress de l’équipe en instaurant un climat de contrôle et de confiance et contribue à la sécurité du patient en limitant les risques d’infections ou d’erreurs liées à une mauvaise organisation. Le recours à une salle dédiée est recommandé pour son efficacité, mais non obligatoire (Tableau 2) [11, 12].

Conseils

  • Créer un environnement sûr : une organisation optimale réduit erreurs et interruptions.
  • Anticiper les besoins : adapter la préparation aux spécificités du cas (site, type d’implant, protocole).
  • Favoriser la concentration : une préparation standardisée réduit la charge cognitive de l’équipe.
  • Dans une salle non dédiée, appliquer des protocoles stricts : délimiter une zone stérile, renforcer la désinfection avant/après chaque intervention, contrôlez les flux de personnes et de matériel.

Jour J : Préparation de la salle d’intervention, préparation de l’environnement

Facteurs organisationnels

  • Utiliser une check-list pour le contrôle de la salle d’opération (fig. 4) et pour le contrôle des étapes cliniques pré-opératoires.
  • Nettoyage et désinfection : désinfecter surfaces, mobilier, lampes et unit dentaire selon les protocoles d’asepsie.
  • Champs opératoires et consommables : positionner les champs stériles et revérifier les dates de péremption (gants, sutures, seringues).
  • Instruments chirurgicaux : préparer et organiser les kits stériles selon leur ordre d’utilisation, en utilisant des cassettes pour éviter les oublis (fig. 5).
  • Implants et biomatériaux : vérifier et mettre à disposition implants et biomatériaux (substituts osseux, membranes).
  • Équipements spécifiques : configurer le moteur chirurgical (vitesse, couple), assembler les pièces à main et préparer l’aspiration stérile.
  • Radiologie : préparer l’imagerie intra-opératoire (mini-CBCT, rétroalvéolaire) avec protections stériles pour les clichés per-opératoire, validant l’axe et la profondeur de forage initial.
  • Système informatique : charger les plans numériques et les protocoles de forage éventuels.
  • Vérifier le guide chirurgical si prévu et sa stérilité.

Conseils

  • Organisation de l’espace : disposer meubles et chariots pour une accessibilité optimale, en retirant les objets non essentiels.
  • Une fois la salle prête, refermer le champ stérile pour limiter la contamination et réduire l’anxiété du patient à son arrivée.

Jour J : Anesthésie

Facteurs organisationnels

La gestion de l’anesthésie impacte la qualité de l’intervention, le confort du patient et la sécurité globale.

Types d’anesthésie

  • Locale : méthode courante pour les implants simples. L’articaïne (4 % avec adrénaline 1:100 000 ou 1:200 000) est privilégiée pour obtenir une hémostase satisfaisante pour la chirurgie. Ils offrent une vasoconstriction optimale en 3 à 5 minutes après l’injection [13].
  • Sédation consciente : cette pratique est hors de portée d’un praticien débutant en implantologie et n’est pas encore autorisée en pratique libérale de ville du fait de l’inadaptation du cadre légal [14].
  • Générale : réservée aux cas complexes ou patients non coopérants, nécessitant un environnement hospitalier.

Gestion de l’anesthésie

La complexité des cas pourrait justifier une salle dédiée pour l’anesthésie avant un transfert en salle chirurgicale (Tableau 3). Ce cas n’est pas applicable pour une chirurgie d’un 1er implant.

Jour J : Installation du patient

Facteurs organisationnels

L’installation du patient garantit à la fois son confort et les conditions optimales pour la réalisation de l’intervention. La préparation va au-delà des tâches techniques et s’intègre dans une gestion globale des facteurs humains pour optimiser les performances de l’équipe et réduire les risques. Ces étapes, pré et post-opératoires, sont formalisées par une check-list (fig. 6) [15].

Conseils

À l’arrivée dans la salle

  • Vérifier : identité, antécédents, traitements en cours, respect des consignes préopératoires (hygiène, prémédication, rinçage antiseptique chlorhexidine à 0,12-0,2 %).
  • Présenter : rappel du déroulement et présentation des membres présents (chirurgien, assistant).
  • Avant de rentrer en salle : protéger par une surblouse et un calot jetable.

Positionnement et préparation

  • Confort : position semi-allongée/allongée, ajustement ergonomique, supports pour confort.
  • Gestion de l’anxiété : discussion apaisante, écoute musicale.
  • Drapage stérile : recouvre le visage et le corps sauf la zone opératoire, fixé avec ruban médical stérile.
  • Désinfection péri-orale : povidone iodée ou chlorhexidine, nettoyage concentrique de l’intérieur vers l’extérieur.
  • Désinfection buccale : nettoyage des muqueuses avec solution antiseptique (chlorhexidine ou povidone iodée diluée), aspiration des excès, retrait de la plaque résiduelle au CK6 (fig. 7).

Jour J : Exécution de la chirurgie et gestion des émotions

Facteurs humains et organisationnels

Le jour de la chirurgie, la gestion du stress et des émotions est essentielle pour garantir la précision des gestes. Il est important de rester calme et concentré, même en présence d’imprévus. La confiance acquise lors des préparations théoriques et pratiques permet de mieux gérer ces émotions et de maintenir la qualité de l’intervention.

Conseils

  • Reprise de la planification radiographique et préparation mentale du praticien : avant chaque intervention, reprendre l’analyse des données radiographiques et la planification implantaire.
  • Communication avec l’équipe : le chirurgien et l’équipe valident ensemble que toutes les conditions sont réunies pour démarrer l’intervention. Annoncer à voix haute le but et les détails de l’intervention (type, marque, diamètre, emplacement de l’implant).

Jour J : Exécution de la chirurgie et travail collaboratif au sein de l’équipe

Facteurs humains

Cette recommandation vise à réduire le gradient d’autorité, un phénomène où la hiérarchie peut inhiber la communication au sein de l’équipe (fig. 8) [16]. Les bénéfices attendus sont la réduction des erreurs grâce à une vigilance collective et le renforcement de la cohésion et de la motivation au sein de l’équipe.

Conseils

Encourager la participation de tous les membres

  • Tous les membres de l’équipe (chirurgien, assistant, anesthésiste, etc.) doivent se sentir libres d’exprimer leurs observations, questions ou préoccupations, même en présence d’une figure d’autorité (celle du chirurgien par exemple).

Valoriser la communication horizontale

  • Les discussions doivent être ouvertes et non restrictives, pour éviter que des informations cruciales soient omises par crainte de représailles ou de jugements. Par exemple, un assistant dentaire doit signaler une anomalie dans la gestion du matériel ou d’un axe de forage sans craindre d’être réprimandé. Pour ne pas inquiéter le patient, il est possible de convenir d’un code de langage à avoir au sein des canaux de communication.
  • Accepter et même encourager son équipe à dire les choses lorsqu’il semble que des éléments s’écartent des protocoles ou des pratiques habituelles.

Adopter une posture de leadership positif

  • Le leader de l’équipe (souvent le chirurgien) doit encourager un climat de confiance et de respect mutuel, où les contributions de chacun sont valorisées.
  • Un bon leader pose des questions comme : « Est-ce que tout est ok selon vous ? » ou « Y a-t-il des points à clarifier avant de commencer ? ».

Jour J : Exécution de la chirurgie et les interruptions de tâches

Facteurs humains

Cette recommandation traite des interruptions fréquentes dans les environnements cliniques, qui peuvent perturber la concentration et conduire à des erreurs.

Conseils

Limiter les interruptions

Les interruptions doivent être minimisées pendant les étapes critiques de l’intervention. Si une interruption est nécessaire, elle doit être justifiée par une information urgente ou essentielle.

En cas d’interruption, reformuler avant de reprendre

Après une interruption, il est essentiel de récapituler les actions en cours « à voix haute ». La reformulation permet d’éviter les erreurs dues à une confusion ou un oubli causé par l’interruption et assure que tous les membres de l’équipe comprennent où en est la procédure et ce qui suit, pour que l’ensemble de l’équipe soit à nouveau aligné.

0 à J+10 : Suivi post-opératoire immédiat et instructions post-opératoires

Facteurs humains et organisationnels

Des instructions claires et un suivi renforcent les soins et la satisfaction du patient.

Conseils

  • Soins : Expliquer l’hygiène buccale, la prise de médicaments et les signes d’alerte.
  • Suivi : Un appel le lendemain rassure et répond aux questions du patient. Une fiche de recommandations est donnée dès la première consultation et, si besoin, renouvelée après l’intervention.
  • Délai : Une consultation à +10 jours vérifie la cicatrisation et l’absence d’infection.

Conclusion

La première chirurgie implantaire marque une étape clé dans la carrière d’un chirurgien-dentiste, combinant technicité et composante humaine. L’analyse de cette intervention souligne l’importance des facteurs humains : gestion des émotions, communication, anticipation et organisation. Ces éléments, essentiels au succès opératoire, nécessitent une préparation technique, psychologique et organisationnelle. Pour les praticiens débutants, intégrer ces dimensions assure sécurité, réussite et une expérience positive pour le patient.

Remerciements

Les auteurs souhaitent tout particulièrement souligner la contribution majeure et déterminante du Dr Franck Renouard dans l’intégration des Facteurs Humains en Odontologie, particulièrement en implantologie. Son travail a permis d’ouvrir un champ immense jusque-là inexploré dans notre discipline, contribuant ainsi à sensibiliser les professionnels de santé. Nous lui adressons nos remerciements les plus sincères.

Annexes
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Bibliographie

  1. Sartoretto SC, Shibli JA, Javid K, Cotrim K, Canabarro A, Louro RS, et al. Comparing the Long-Term Success Rates of Tooth Preservation and Dental Implants: A Critical Review. J Funct Biomater. 2023;14(3):142.
  2. Heller G, Renouard F. La péri-implantite, une erreur ? Clinic. 2024;45(438).
  3. Reason J. Human error: models and management. BMJ. 2000;320(7237):768‑70.
  4. Yule S, Paterson-Brown S. Surgeons’ non-technical skills. Surg Clin North Am. 2012;92(1):37‑50.
  5. Bondil X, Chanéac H. Les obligations du chirurgien-dentiste en implantologie. Clinic. 2021;42(402):519‑27.
  6. Picard T, Piscitello S, Nguyen T. Critères de choix du système implantaire. Clinic. 2021;42(402):555‑65.
  7. Chackartchi T, Romanos GE, Parkanyi L, Schwarz F, Sculean A. Reducing errors in guided implant surgery to optimize treatment outcomes. Periodontology 2000. 2022;88(1):64‑72.
  8. Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé, éditeur. Le dossier du patient en odontologie: mai 2000. Paris: Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé; 2000. (Recommandations pour la pratique clinique).
  9. Nahmias F. Prise en charge implanto-prothétique de l’édentement Volet I Rapport HAS. HAS [Internet]. 2024; Disponible sur: https://www.has-sante.fr/jcms/p_3356489/fr/prise-en-charge-implanto-prothetique
  10. Haute Autorité de Santé [Internet]. [cité 25 févr 2024]. Briefing et debriefing. Disponible sur: https://www.has-sante.fr/jcms/c_2657908/fr/briefing-et-debriefing
  11. Colin P. Préparer une intervention implantaire Ergonomie en cours d’intervention. Implantodontie. 2004;13:243‑51.
  12. Conditions de réalisation des actes d’implantologie orale : environnement technique. HAS; 2008.
  13. Madrid C, Courtois B, Vironneau M, Bayssière J, Bernard JP, Coudert JL, et al. Emploi des vasoconstricteurs en odonto-stomatologie. Med Buccale Chir Buccale. 2003;9(2):65‑94.
  14. Livre Blanc – La sédation consciente par voie intraveineuse au cabinet dentaire. Académie Nationale De Chirurgie Dentaire;2023.
  15. Kupka JR, Sagheb K, Al-Nawas B, Schiegnitz E. Surgical safety checklists for dental implant surgeries—a scoping review. Clin Oral Investig. 2022;26(11):6469‑77.
  16. Renouard F, Charrier G. À la recherche du maillon faible ? Ewenn Éditions; 2011.
  17.  

À propos de l'auteur

 

Dr Antonin Hennequin

 

Et
Dr Guillaume HELLER
Docteur en chirurgie dentaire
  • Docteur en Chirurgie Dentaire à Montpellier
  • Activité orientée en parodontologie, implantologie et restaurations prothétiques complexes
  • Assistant hospitalier universitaire en parodontologie CHU et Université de Montpellier

Formation E-learning DPC

  • La pratique sécurisée de l’implantologie

    Implantologie

    La prise en charge des situations cliniques simples
    • Programme intégré
    • Action DPC 99F92425051
    • 14 h en E-learning
    • Éligible DPC (1166 €)

Dernière mise à jour le 4 juillet 2025